Les tribulations de Norbert, Laurent, Yves, Bruno et Patrick sur les routes de L’Ardéchoise

J-2 : montage et ajustement des vélos sur le porte-vélos arrière quadruple de la voiture Norbert

J-1: départ 5h30 depuis chez Norbert: arrivé au gîte et restau pour 13h. C’est déjà la fête à Satillieu avec le pique-nique ravito de la Cyclo Jeune des 8 à 16 ans. Installation au gîte parfait déniché par l’épouse de Norbert et cap vers St Félicien pour y déposer les sacs (qu’on retrouvera à chaque étape)  et retirer nos dossards et casque-cadeau. Un bon dîner et dodo pour les ronfleurs : demain on part à 6h30.

J1 : pti dèj avant 6h, sur le parking près de St Félicien vers 7h et on passera l’arche de départ vers 7h30. Un très beau temps chaud nous attends pour cette première étape de 155km et 2500m de montées vers Privas. Des ravitos variés et festifs à foison mais l’arrivée au col de la Faye sera dure pour Yves et moi : un plat de pâtes sera bienvenu pour recharger un peu les batteries. Mais il faudra le digérer… Heureusement les 20 derniers km vers l’excellent hôtel de Privas sont essentiellement une descente de folie… Il va y pleuvoir quelque minutes après notre arrivée.

J2 : départ à 7h30 via les 500m de dénivelé du col de Benas. Il y en a 3000 de prévu ce jour et avec la chaleur je ne suis pas au rythme et choisi de couper plus court vers notre gîte de ce soir : je ne ferai ainsi que 100 bornes avec « seulement » 2200m de montée. Bien m’en pris car le reste du groupe n’y arrivera qu’à 20h30. Yves est allé au-delà de ses forces et les derniers km furent interminables : demain il fera un parcours raccourci pour rejoindre St Félicien.

J3 : Dernière étape de 170km et 2400m de montée mais heureusement près de 3000 de descente via les monts du Lignon. Sur ces crêtes on va souffrir d’un fort vent de Nord Est à nous faire dévier de nos trajectoires, mais celui-ci va aussi nous éviter d’y souffrir de la chaleur avant la dernière montée vers Lalouvesc où le goudron fond et beaucoup sont à pied. Regroupement au dernier ravito copieux et varié (comme les précédents) et ce sont les 20 derniers km de faux plats puis de descente sur route fermée, où l’on peut à nouveau se donner à doublement fond avant St Félicien. Les voitures nous attendent pour rejoindre Satillieu et le même gîte que le premier soir.

J4 : retour au bercail tandis que Laurent part seul, privé de la mélodie de Norbert, pour de nouvelles aventures sur les routes du Gers et de L’Ariègoise !

24&25/5/2017: Reconnaissance à vélo du futur BRM 300 Tour de Paris

Départ roulant via la RN14, Conflans et Andresy où le contournement partiel de la colline de l’Hautil par la D55 puis à droite (ne pas la rater) la rue d’Andresy au pied de Chanteloup les Vignes, est une bonne option. Après Triel c’est bien roulant sauf par vent d’ouest jusqu’au premier contrôle de Gargenville. En raison de l’horaire matinal il faudra y demander une photo ou prévoir un poste de pointage sur place car les commerçants/cafés ne seront pas ouverts.

Traversée de la Seine puis de l’A13: cap au sud avec du trafic dans Epone puis parcours roulant avec bon revêtement via Maule, Andelu (vue sur le château de Thoiry), croisement de la N12, Méré puis la forêt de Rambouillet avant le 2ème contrôle à St Léger en Yvelines.

Le parcours reste ensuite sympa, forestier et roulant via le Perray en Yvelines (passage sous la N10), direction Bullion, D132: Bonnelle (bonne boulangerie avec sandwich frais sur la gauche de la route), Angervilliers (passage au dessus de l’A10) et St Chéron où le parcours toujours sur de bonnes routes devient plus casse-pattes. 3ème contrôle à Etréchy et les montagnes russes continuent vers l’est jusqu’à une bonne côte pour sortir de la Ferté-Alais (bien prendre à gauche vers le centre ville et la mairie).

Ca devient ensuite plus rectiligne et monotone: St Germain l’école (A6), Perthes puis Chailly en Bière avant la forêt de Fontainebleau et le 4ème contrôle à Bois le Roi. Les routes sont en bonne état mais ici souvent plus rugueuses.

La mi-parcours est passée: bon restaurant Le Chalet (pour ceux que ça tente) à droite dans Chartrettes après avoir franchie la Seine et avant la courte côte pour remonter vers le nord. Ensuite c’est en léger faut plat montant (beau château fort à Blandy) sur souvent d’excellentes routes avant de plonger (au dessus de l’A4) dans la vallée du Morin. A gauche direction Esbly puis Trilbardou où ça remonte bien raide à droite après le feu! On arrive ensuite sur la N3 qu’il faut emprunter pendant environ 200m vers la gauche et cap vers Iverny, St Marc et la montée vers Dammartin en Goële pour le dernier pointage intermédiaire.

Parcours ensuite essentiellement descendant et roulant (sauf quelques ralentisseurs en pavés au début) vers l’ouest via les Moussy, Vémars, Villebon (au dessus de l’A1), Fontenay en Parisis, Mareil en France (passage au dessus de la N2), Villiers le Sec et Vilaines et à gauche la D909 quitter encore à gauche pour la piste en béton (à hauteur du magasin Gamm Vert comme le Tour de France) direction Attainville.

Et c’est la dernière côte de Montlignon au travers de la forêt de Montmorency puis cap vers Franconville.

Norbert et Patrick

Les clochetons – édition 2016 – vive les cimetières !!

De par sa position au calendrier, cette rando est réputée pour la chaleur qui y règne tout au long du parcours. Mais cette année, comme souvent maintenant en matière de météo, le record fut battu. De mémoire de nos Quatre mousquetaires, Laurent, Steve, Philippe et Dominique n’avaient jamais vu ça ; du moins dans la région parisienne.

Départ au petit matin avec déjà 20° au thermomètre pour une boucle de 180 kms (Magnanville/La Guéroulde/Magnanville) afin d’admirer le patrimoine architectural religieux de l’Eure, et notamment ces clochetons qui font la fierté du département. Mais l’après midi, après l’habituel barbecue des plus copieux à la Guéroulde, il fallait revenir sous une canicule de 37°. Pas d’autre moyen pour se rafraichir que de se doucher tout en roulant avec l’eau des bidons hélas réchauffée par l’air brulant de la route. C’est à ces moments cuisants que les cimetières sont d’un grand secours grâce aux robinets d’eau fraîche dont ils sont équipés et soyez certains que nos randonneurs en ont visité quelques uns.

Bref, encore un souvenir impérissable dont nos 4 valeureux cyclos franconvillois se souviendront (voir les photos pour s’en persuader).

PS : pas de coupe à exposer cette année pour le CCFF en raison du peu de participants du club.

 

Levallois – Cabourg

Levallois – Cabourg, 10 septembre 2016, 1ere édition bien qu’elle succède aux innombrables Levallois-Honfleur. L’organisation réunissant quelques 2500 participants était donc au top.

Le CCFF, lui, était représenté par une dizaine de cyclotouristes attachant peu d’importance au chronomètre et pour qui le fait de participer et terminer le parcours constituaient l’essentiel de l’objectif. Ces randonneurs qu’il faut bien nommer ne serait-ce que pour la performance physique : Didier Turbé, Laurent Lacayo, Ph. Antony, Ph. Dineur, Steve, René, Nicolas, Adrien, Norbert, Olivier et Dominique Richonnet ; ces randonneurs donc s’élancèrent de Levallois dans la nuit du petit matin en direction de la Normandie.

1er arrêt dès le jour levé à Thoiry au km45 pour un petit dej déjà bien mérité. Puis le repas au km112 à Bonneville s/ton sous un beau soleil de cet été indien. C’est en début d’après midi que le vent commençait à contrarier notre progression et, malgré quelques notions de certains pour prendre des relais dignes de pros, c’est assez fourbus que nous arrivions aux portes de Cabourg. Puis, enfin, l’arrivée, somptueuse, avec la boucle sur la piste cyclable longeant la plage, les barrières de sécurité sur les derniers 100 mètres et le passage sous le portique d’arrivée. Applaudis par une foule nombreuse, on se serait, pour un peu, pris pour des champions.

Un mot tout de même sur ce petit peloton franconvillois qui n’a pas toujours la réputation d’être soudé. A part Nico, parti loin devant, Olivier en solo et Didier fermant toujours la marche bien malgré lui, il resta relativement uni avec quelques échappées de ci de là bien naturelles, les jambes étant démangées par l’évènement.

Et malgré une chute et un abandon, ce petit peloton gardera le souvenir d’une super journée passée entre copains avec le cœur en fête de l’exploit accompli.

 

L’étape du Tour de France

Cette journée était vraiment très particulière : les raleurs ne ralaient pas, les flingueurs ne flingaient pas, nous sommes tous restés groupés jusqu’au bout …ou presque. Seul un oiseau des îles s’est envolé on ne sait où ??

Bref 18 cyclos au RDV de 7h30 en direction du château de Chantilly. Juste le temps de prendre une photo de groupe que nous voilà partis pour un tour du château et faire l’étape du jour (celle sans les cols) encouragés par de nombreux spectateurs tout au long de la route. Arrivés au pied de la côte de l’Ermitage, à peine quelques désistements. En haut un groupe de 9 continue jusqu’à la Place de l’Etoile car les Champs sont déjà fermés pour cause de course féminine. Comme le soleil tape déjà très fort et que nous avons déjà 110km dans les jambes notre cher président nous conseille de ne pas négliger notre hydratation et nous invite à déguster une boisson de récupération (à base de houblon).

Bref une excellente journée à renouveler. Les maillots distinctifs du jour sont décernés à :

– Patrick pour le maillot vert (le seule à boire un Vittel Menthe)

– Bernard pour le maillot à pois (toujours aussi impressionant dans la côte de Viarmes)

– Serge pour le maillot blanc de meilleur jeune (ancien maillot du club) et qui plait beaucoup aux spectatrices

– au groupe entier pour le maillot jaune

– Floriano Gustavo alias le colombien le prix de la combativité qui a passé la journée devant

Vivement le prochain passage du Tour dans notre région

Philippe Dineur